Curiosités

Guillermo Kahlo, le papa de Frida. Allemand, il s'était installé au Mexique. Certains disent: par goût de l'aventure; d'autres: pour fuir une belle-mère difficile.
Guillermo Kahlo, le papa de Frida. Allemand, il s’était installé au Mexique par goût de l’avenutre, disent certains, et d’autres, pour fuir une belle-mère difficile.
John Ruskin, traduit passionnément par Proust, évoque cette plaisanterie de Carpaccio dans La Bible d’Amiens. Proust dit que le chapitre en question est à lire sur place, c’est-à-dire à Venise. Ruskin trouve que les moines ne courent pas bien.
Il pense.
Tiens, c’est du fils Tiepolo qui n’est pas connu. Le père règne immortel: Giambattista; le fils aîné est dans la gloire: Giandomenico; celui-ci, Lorenzo, végète dans l’oubli. En plus, Goya lui a tout pompé.
Tenez-vous le pour dit.
J’ai vu un fort bel exemplaire de cette gravure à Anvers. Elle représente l’espoir, à l’intérieur d’une série consacrée aux vertus cardinales. Selon Brueghel, donc, l’espoir, c’est quand tout va mal. Parce que regardez un peu. Bonne leçon. Merci, Pierre.

l’argent est la passion de ceux qui n’en ont pas d’autre

Heinrich von Ulmensteinbergh am donau
N’ayez pas peur. C’est Jeanne Toussaint.
La femme de Rik Wouters. Dans un bon jour.
Les enfants Picard, par les frères Oyens.
Reine et sculpteur.
Maria Sèthe, en belle robe dessinée par elle-même ou par son mari Henry, dans leur maison de Uccle. Derrière le piano, le portrait d’icelle à l’harmonium, par leur ami Théo. Le palmier sur le piano est une bonne idée.

Toujours entre les bras de la mort. Ben oui, mais fallait oser.

C’est une gravure de Dürer, seizième siècle allemand. Il habitait Nuremberg. On peut encore voir et visiter sa maison. Sa femme s’appelait Agnès.
Herueusement qu’il n’y a pas le son. (Umberto Eco et son épouse.)
Ça, c’est du Klimt, mais ça fait penser à du Khnopff. Ou alors, c’est le contraire. L’œuvre de F. Khnopff était fort représentée à la première exposition organisée par la Sécession viennoise. En 1897, je crois.
Tableau épatant de Théo montrant Gide moustachu en train d’écouter, la tête posée dans la main, Verhaeren qui récite ses poèmes.
Il porte l’insigne de l’ordre du Double dragon (Chine). Et il a l’air très gentil.
un tracé de frontière
un autre tracé de frontière
André Gide et Maria Van Rysselberghe, rue Vaneau, en 1950. Trois ans qu’il jouit du prix Nobel.
Voilà Maria Sèthe à l’harmonium, par l’ami Théo Van Rysselberghe.

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